Ce vin assemblé sur une base majoritaire de Viognier est dédié à Michel Chevalier, grand économiste français, propriétaire le plus connu de Montplaisir. Elevé en barriques pendant 8 mois, il conjugue une structure élancée et une aromatique riche de fleurs d’été, de crème et de pêche blanche.

La Maison

Des documents mentionnent en 1707, pour la première fois, le domaine de Montplaisir comme une métairie comprenant « maison, jardin, prés, vignes, champs chataignettes, bois, hermes et rivages » au tènement de La Roque (Roche Percée), Cette demeure a été la résidence des plusieurs personnalités importantes de la région. A la fin du XIXe et au début du XXe siècles, une série de travaux réunissent les nombreuses dépendances en un seul bâtiment très éclectique. Les cours d’eau d’Izarn et de la Soulondre, les châtaigniers, les jardins pittoresques et les vignes sont restés identiques au fil des siècles.

Comme l'attestent les anciens plans cadastraux, il y a toujours eu des vignes à Montplaisir. Un vaste champ entre la rivière et la route menant à Bédarieux était dédié à la production viticole. Cette production cesse dans les années 1980. Elle est renouvelée en 2016 avec l'implantation de Chardonnay, Viognier, Alvarinho, Petit Manseng et Syrah. Un terroir frais et les sols argilo-calcaires situés à 200 mètres d'altitude confèrent fluidité et élégance aux vins blancs.

Saint-Simonien, ingénieur de formation, Michel Chevalier fût un économiste politique libéral et conseillera Napoléon III. Michel Chevalier fût l'auteur d'un traité de libre-échange entre la France et la Grande-Bretagne. Ce traité a marqué une nouvelle époque dans le commerce et dessiné les contours de la future Union Européenne.
Il s'installe à Montplaisir en épousant Emma Fournier, petite-fille de Gaspard Barbot, maire de Lodève et fille de René Fournier, propriétaire de la manufacture textile et du domaine.

La Maison

Des documents mentionnent en 1707, pour la première fois, le domaine de Montplaisir comme une métairie comprenant « maison, jardin, prés, vignes, champs chataignettes, bois, hermes et rivages » au tènement de La Roque (Roche Percée), Cette demeure a été la résidence des plusieurs personnalités importantes de la région. A la fin du XIXe et au début du XXe siècles, une série de travaux réunissent les nombreuses dépendances en un seul bâtiment très éclectique. Les cours d’eau d’Izarn et de la Soulondre, les châtaigniers, les jardins pittoresques et les vignes sont restés identiques au fil des siècles.

Le propriétaire

Saint-Simonien, ingénieur de formation, Michel Chevalier fût un économiste politique libéral et conseillera Napoléon III. Michel Chevalier fût l'auteur d'un traité de libre-échange entre la France et la Grande-Bretagne. Ce traité a marqué une nouvelle époque dans le commerce et dessiné les contours de la future Union Européenne.
Il s'installe à Montplaisir en épousant Emma Fournier, petite-fille de Gaspard Barbot, maire de Lodève et fille de René Fournier, propriétaire de la manufacture textile et du domaine.

Comme l'attestent les anciens plans cadastraux, il y a toujours eu des vignes à Montplaisir. Un vaste champ entre la rivière et la route menant à Bédarieux était dédié à la production viticole. Cette production cesse dans les années 1980. Elle est renouvelée en 2016 avec l'implantation de Chardonnay, Viognier, Alvarinho, Petit Manseng et Syrah. Un terroir frais et les sols argilo-calcaires situés à 200 mètres d'altitude confèrent fluidité et élégance aux vins blancs.

© 2020 Domaine de Montplaisir

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